Votre demande de crédit immobilier a été refusée et vous ne savez pas quoi faire pour concrétiser votre rêve de devenir propriétaire ? Sachez que vous pouvez retenter votre chance auprès d’autres banques, mais avant cela, lisez nos conseils. 

Contacter un courtier en crédit immobilier

Avant de déposer une nouvelle requête, contactez un courtier en crédit immobilier pour vous aider à :

• constituer un dossier plus solide
• remédier aux éventuelles faiblesses décelées par l’établissement qui a statué à un refus 
• vous obtenir un prêt auprès de ses partenaires bancaires sous les meilleures conditions.

En tant qu’expert des financements bancaires, il ne manque jamais d’idées pour améliorer votre profil et faire de vous un bon candidat à un prêt immobilier à Auriol. 

Augmenter votre apport personnel

Les banques n’accordent d’attention qu’aux candidats qui peuvent investir un apport conséquent dans le projet d’acquisition qu’ils projettent de faire. Au minimum, cet apport devrait équivaloir à 10 % du coût total de la transaction. Plus votre part est importante, plus l’établissement bancaire sera motivé pour vous aider. 

Un conseil néanmoins : évitez d’y investir toutes vos économies, car vous aurez sûrement besoin d’argent pour divers imprévus reliés à l’investissement (travaux à faire, emménagement, impôts et taxes…). Si possible, essayez d’abord de décrocher un prêt à taux zéro (PTZ), car cette somme peut vous servir d’apport personnel ou le compléter. 

Revoir le montant et la durée de remboursement

Parfois, le refus est dû à un montant trop élevé associé à une durée de remboursement trop courte. Avant d’indiquer le capital souhaité, évaluez votre situation financière. Quel est votre taux d’endettement maximal ? Quelle est votre capacité d’emprunt ? De combien d’années disposez-vous encore avant la retraite ? 

Il faut que le montant et la durée soient cohérents avec vos revenus et votre âge. Vous n’allez pas rembourser le prêt sur 20 ans alors que vous avez déjà 50 ans ou demander un capital qui vous oblige à verser 50 % de votre revenu en guise de mensualités.